Blog

Les anesthésiques locaux sont indispensables en ophtalmologie pour soulager la douleur et permettre les gestes médicaux. Mais leur efficacité cache des risques d’usage abusif ou prolongé. Un équilibre délicat entre soulagement immédiat et respect de la physiologie oculaire.

Les antiseptiques oculaires sont utilisés pour prévenir les infections avant une chirurgie, traiter les conjonctivites ou assurer une bonne hygiène palpébrale. Povidone iodée, hexamidine, chlorhexidine ou hypochlorite : chacun a son efficacité, ses limites et ses risques. Cet article décrypte leurs mécanismes d’action, leur usage clinique et les précautions à prendre pour éviter toute toxicité.

Les allergies oculaires, fréquentes et parfois invalidantes, résultent d’une réaction excessive du système immunitaire à des allergènes comme les pollens ou les acariens. Elles provoquent des symptômes typiques : démangeaisons, rougeurs, larmoiement, sans gravité en général, mais pouvant évoluer en pathologies plus sévères. Les traitements incluent collyres antihistaminiques, stabilisateurs de mastocytes, corticoïdes et immunomodulateurs, avec une attention portée à leur efficacité et leurs risques.

Les troubles de la motricité oculaire et palpébrale, qu’ils soient liés à un ptosis, un strabisme ou un blépharospasme, résultent d’un dysfonctionnement des nerfs ou des muscles impliqués dans le mouvement des yeux et des paupières. Ces troubles peuvent être d’origine neurologique, musculaire ou congénitale. Une prise en charge adaptée repose sur un diagnostic précis, combinant imagerie, tests fonctionnels et examens cliniques. Le traitement varie selon la cause : médicaments, toxine botulique, chirurgie, rééducation visuelle ou compensation optique.

La cataracte est une pathologie ophtalmologique fréquente caractérisée par l’opacification du cristallin, altérant progressivement la vision. Bien que liée au vieillissement, elle peut également résulter de facteurs métaboliques ou traumatiques. La chirurgie, en particulier la phacoémulsification avec implantation de lentille intraoculaire, constitue le traitement de référence. Si les résultats sont très satisfaisants, l’intervention n’est pas exempte de risques, d’où l’importance d’un suivi post-opératoire attentif.

La Dégénérescence Maculaire Liée à l’Âge (DMLA) est une maladie chronique affectant la macula, essentielle à la vision centrale. Elle se manifeste sous deux formes principales : la DMLA sèche, caractérisée par une atrophie progressive de la macula, et la DMLA humide, marquée par la formation de néo-vaisseaux sanguins anormaux sous la rétine. Les traitements actuels, tels que les injections intravitréennes d’anti-VEGF (comme le ranibizumab et l’aflibercept) et la thérapie photodynamique au laser, visent à ralentir la progression de la maladie et à préserver la vision.

Le glaucome est une maladie oculaire chronique qui endommage progressivement le nerf optique, souvent en raison d’une pression intraoculaire élevée. Cette affection peut entraîner une perte de vision irréversible si elle n’est pas traitée. Les traitements actuels visent à réduire la pression intraoculaire et comprennent l’utilisation de collyres, de traitements oraux, ainsi que des interventions laser ou chirurgicales. Chaque option thérapeutique présente des avantages et des inconvénients, et le choix du traitement dépend de la forme spécifique de glaucome et des caractéristiques individuelles du patient.

L’asthénie, ou fatigue chronique, est une sensation de fatigue intense et persistante qui ne disparaît pas avec le repos. Elle peut résulter de divers facteurs, notamment des déséquilibres métaboliques, neurologiques ou hormonaux. Cet article explore en détail les causes de l’asthénie, les mécanismes sous-jacents et les traitements disponibles, en mettant l’accent sur les acides aminés, le diméthylaminoéthanol (DMAE), les oligothérapies et d’autres approches thérapeutiques.

Les sels minéraux, tels que le calcium, le magnésium, le phosphore, le fer et le potassium, sont essentiels au bon fonctionnement de notre organisme. Ils jouent des rôles clés dans diverses fonctions biologiques, de la formation des os à la transmission nerveuse. Une alimentation équilibrée est cruciale pour assurer un apport adéquat de ces nutriments et prévenir les carences ou excès potentiellement nocifs.

Les maladies métaboliques rares, telles que le déficit en carnitine, la maladie de Wilson et la phénylcétonurie, sont des affections génétiques qui perturbent le métabolisme des nutriments essentiels. Cet article explore en détail leurs origines, mécanismes et options thérapeutiques.