Correctol®, Difrarel® ou Vitarutine® sont des traitements oraux prescrits pour soutenir la santé oculaire, notamment par leurs effets vasculaires ou antioxydants. Leur efficacité clinique reste modeste mais peut s’inscrire dans une approche complémentaire pour certains troubles visuels liés à l’âge ou à la fatigue oculaire.
Les pseudo-cicatrisants ne réparent pas directement la cornée, mais créent un environnement propice à la régénération de la surface oculaire. En hydratant, protégeant et stabilisant les cellules, ces traitements complémentaires soulagent les symptômes et accélèrent la guérison dans certaines affections chroniques ou post-chirurgicales.
Les myotiques et mydriatiques sont des collyres puissants qui modulent la taille de la pupille. Utilisés pour faciliter l’examen du fond d’œil ou traiter le glaucome, ils nécessitent une compréhension fine de leurs effets pour éviter les risques de complications, notamment chez les patients sensibles.
Le lavage et l’hydratation oculaire sont des gestes simples en apparence, mais reposent sur une compréhension fine du film lacrymal. Ce soin quotidien vise à restaurer l’équilibre de la surface oculaire face aux agressions environnementales ou pathologiques, tout en évitant les pièges liés aux conservateurs ou aux produits mal adaptés.
Les anesthésiques locaux sont indispensables en ophtalmologie pour soulager la douleur et permettre les gestes médicaux. Mais leur efficacité cache des risques d’usage abusif ou prolongé. Un équilibre délicat entre soulagement immédiat et respect de la physiologie oculaire.
Les antiseptiques oculaires sont utilisés pour prévenir les infections avant une chirurgie, traiter les conjonctivites ou assurer une bonne hygiène palpébrale. Povidone iodée, hexamidine, chlorhexidine ou hypochlorite : chacun a son efficacité, ses limites et ses risques. Cet article décrypte leurs mécanismes d’action, leur usage clinique et les précautions à prendre pour éviter toute toxicité.
Les allergies oculaires, fréquentes et parfois invalidantes, résultent d’une réaction excessive du système immunitaire à des allergènes comme les pollens ou les acariens. Elles provoquent des symptômes typiques : démangeaisons, rougeurs, larmoiement, sans gravité en général, mais pouvant évoluer en pathologies plus sévères. Les traitements incluent collyres antihistaminiques, stabilisateurs de mastocytes, corticoïdes et immunomodulateurs, avec une attention portée à leur efficacité et leurs risques.
Les troubles de la motricité oculaire et palpébrale, qu’ils soient liés à un ptosis, un strabisme ou un blépharospasme, résultent d’un dysfonctionnement des nerfs ou des muscles impliqués dans le mouvement des yeux et des paupières. Ces troubles peuvent être d’origine neurologique, musculaire ou congénitale. Une prise en charge adaptée repose sur un diagnostic précis, combinant imagerie, tests fonctionnels et examens cliniques. Le traitement varie selon la cause : médicaments, toxine botulique, chirurgie, rééducation visuelle ou compensation optique.
La cataracte est une pathologie ophtalmologique fréquente caractérisée par l’opacification du cristallin, altérant progressivement la vision. Bien que liée au vieillissement, elle peut également résulter de facteurs métaboliques ou traumatiques. La chirurgie, en particulier la phacoémulsification avec implantation de lentille intraoculaire, constitue le traitement de référence. Si les résultats sont très satisfaisants, l’intervention n’est pas exempte de risques, d’où l’importance d’un suivi post-opératoire attentif.
